Comment les femmes sauraient-elles évaluer avec raison et sang froid les risques profitables alors qu’elles ne connaissent du mot "obligation" que le sens du devoir domestique et maternel ?
Si elles avaient le génie des affaires, les entreprises du CAC 40 ne seraient pas pratiquement toutes dirigées par des hommes ! Le principe de gestion « en bon père de famille » a maintes fois fait ses preuves, et n’est en rien démenti par les soubresauts passagers de l’activité économique. Ce n’est pas un hasard s’il n’a pas d’équivalent féminin.
Certaines intrigantes, haut placées au sein du sein de notre Patronat, sont trop souvent conviée aux côtés de ceux qui font l’économie de ce pays. Leur goût du pouvoir est indubitable et leur présence à la tribune peut nous faire craindre des prétentions toujours plus grandes. Quel exemple regrettable pour les épouses et mères, déjà trop nombreuses à monter leur propre entreprise de ménage, désertant leurs responsabilités domestiques et laissant nos foyers à l’abandon !
Laissons aux ménagères la gestion de leur panier et préservons la place légitime des hommes qui se doivent, en tout lieu, d’être patrons