Nous exprimons notre joie face au chaleureux accueil réservé par les grands média à l’un de nos plus grands hommes à son retour d’exil, après que les charges contre lui ont été abandonnées par la Justice du plus puritain des peuples. Autant dire que notre homme en sort blanchi !
A quels tourments sont aujourd’hui livrés les grands hommes blancs de notre pays ? Notre peuple perd décidément son sang-froid et se laisse aller aux réactions les plus émotives, les plus irraisonnées offrant en pâture l’élite d’une génération, les meilleurs d’entre nous.
Dominique, Georges, Roman, Jacques, Bertrand, et autres puissances viriles qui faites l’honneur de la France, sachez que nous ne vous laisserons pas tomber. Nous nous tenons à vos côtés, en compagnie d’autres grands hommes. Bernard l’a bien dit : "Tout le monde n’est pas tout le monde". Alain est avec vous aussi, qui clamait "Le stupre et la boue, qu’ils les gardent !"
Séduire n’est pas nuire, que diable ! Et si certains gestes osés peuvent surprendre parfois par leur vivacité, de grâce, il s’agit de l’ordre privé, qu’il n’appartient à personne de juger. Où irions-nous si l’on ne pouvait plus trousser les soubrettes, lutiner les journalistes, masser les pieds de ses collaboratrices et taquiner les assistantes ? Voire corriger les récalcitrantes ? Et pourquoi la justice devrait-elle se mêler d’affaire de séduction ? N’est-ce pas le signe même de notre bonne santé gauloise ? L’expression magistrale de notre hommage à l’autre sexe ?
Peu nous chaut l’agitation de quelques femmes accablées. Les hommes doivent conserver toutes les prérogatives liées de leur sexe à l’heure où des lois délétères pourraient rompre une tradition ancestrale, s’il prenait à la Justice des hommes d’un jour les appliquer.
En tout homme sommeille un conquérant. C’est cette force de prédation, cet instinct de survie et de production chez l’homme qui a fait de l’Humanité ce qu’elle est !
La Barbe appelle dès aujourd’hui à la création d’un comité de soutien aux Grands Hommes Blancs et à leurs traditions viriles.